À la première vue, le talon, dans sa face plantaire, peut être considéré comme le parent pauvre de la réflexologie.
Si on le compare au gros orteil ou l’on trouve des points à stimuler tous les millimètres, le contraste est saisissant. Les réflexes situés sous le talon se comptent sur les doigts de la main, au mieux des deux mains si l’on est généreux.
Et pourtant la pratique nous montre une tout autre réalité et il est grand temps de rendre au talon toutes ses lettres de noblesse tant méritées.
En effet, cette partie du pied malgré sa faible densité de zones réflexes n’a pas son pareil pour relâcher toutes les tensions accumulées dans la région du bassin.
Toute cette partie pied doit donc être stimulée énergiquement pour nombre de troubles liés au système digestif ainsi que ceux du système reproducteur.
Très efficace également pour les douleurs du bas du dos, même avec des douleurs irradiantes dans les jambes, les problèmes de jambes lourdes ou de jambes sans repos.
Ces bénéfices s’expliquent très facilement quand on sait que l’amélioration de la circulation sanguine et le déblocage des influx nerveux en réflexologie sont liés au relâchement des diverses zones de tensions.
Comme si cela ne suffisait pas, la stimulation du talon est très agréable à recevoir et provoque un sentiment de relâchement général.
Alors, pourquoi s’en priver ?
La réflexologie ne se substitue pas à la médecine conventionnelle.
Le réflexologue ne peut pas faire un diagnostic, modifier un traitement ou participer à une décision thérapeutique.
Conformément à la loi, la pratique de la réflexologie ne peut être en aucun cas assimilée à des soins médicaux ou de kinésithérapie, mais à une technique de bien être par la relaxation physique et la détente libératrice de stress. (Loi du 30.04.1946, décret 60669 de l’article l.489 et de l’arrêté du 8.10.1996.)
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